J'étais prête à croire que personne n'avait compris que la survie de la planète devait être la première priorité parmi les personnalités politiques. Suis bien contente de voir qu'il n'en est rien. Alors merci, merci, merci, d'avoir pris la parole à ce sujet.

A tous, Résistant(e)s  de l'Ingérence Citoyenne.

Si vous commencer à croire, ce que les supers financiers, banquiers, BCE, banques mondiales vous disent, c'est qu'il est déjà l'heure de redescendre sur terre.
Si le système bancaire pyramidal, mondial s'empare des investissements écologiques avec les mêmes instruments de gestion interne, c'est à dire en vendant du crédit d'avenir, le chèque sera de plus en plus mal barré à la fin du mois.
La bulle spéculative des investissements environnementaux commence à se développer et lorsqu'elle retombera, elle provoquera, une crise financière sans précédent et sans commune mesure avec celle des subprimes, forçant le crédit de tous par caution alimentaire mondiale et par torsion, les droits de l'homme au libre acces à ses moyens vitaux de subsistances

2% des réserves d'eau mondiales sont potables.

En 2030, 2 hommes sur trois en subiront les conséquences.

Le fait de s'en servir pour se faire le VRP Français de l'énergie nucléaire pour la désalinisation de l'eau de mer
dans des régions instables du monde est un danger majeur qu'il nous appartient à tous de prévenir.
Par géolocalisation et progrès du téléguidage, ces centrales une fois implantées seront ciblées et serviront comme instrument d'échange, à la solde d'un terrorisme globalisé et grandissant.
Nous pouvons aujourd'hui assurer la production d'energie électrique nécessaire à l'eau potable par l'éolien, le solaire. Une centrale solaire comme cible d'un missile, c'est toujours moins dangereux, qu'une centrale nucléaire.
La balle est dans le camps du président et comme dirait François, il faut faire d'une pierre trois coups, en clair exiger de Kadhafi un pacte d'arrangement avec son homologue tchadien, en s'engageant à faire juger les protagonistes de l'arche de zoé en France, en échange de l'apport de technologie solaire et éolien au Tchad et en Libye, le président est un fin négociateur, encore faut-il que ce soit utile !
Il faut tout simplement considérer que les peuples libyiens et Tchadiens seront mille fois plus heureux avec cette formule, il suffit de s'en faire un objectif et non une contrainte.
Les contrats sont peut-être signés, l'homme est encore là.
Les solutions démocratiques ne sont pas dans l'espace, elles sont sous nos pieds.
Il suffit de réfléchir autrement cette entreprise diplo-économico-démocratiquement parlant et sutout la financer durablement : EuroCitInvest.

Matteo, mouvencis.com

Si la température des océans monte encore de quelques degrés, l'hydrate de méthane (sous forme cristallisée) qu'il y a à grande profondeur océanique va dégazer dans l'atmosphère. Ce méthane repose au fond des océans comme une bombe à retardement. Il provient de la décomposition de substrats organiques, le long des plaqes continentales.

L'effet de serre du méthane est beaucoup plus élevé que le CO2 et là, ça pourrait bien s'emballer de manière désastreuse.

On pense que l'hydrate de méthane a déjà commencé à dégazer dans les mers où la température de l'eau dépasse les quatre degrés à 450 mètres de profondeur...

On ne sait pas où est précisément le point de non- retour, en raison de l' incertitude de la quantité d'hydrate de méthane mais ce pourrait être de l'ordre de quelques décennies.

Logiquement, chaque gouvernement devrait s'investir à fond dans la réduction de l'émission de CO2 et autres gaz à effet de serre. Comme, nous devrions tous le faire.

Mais les bénéfices d'une telle politique ne se voient qu'à long terme  et sont souvent négligés par les politiciens, car sans grand intérêt pour les prochaines élections. 

A moins, que l'on ait affaire à des politiciens vraiment dignes de si hautes fonctions et qui agissent avec une conscience universelle. Alors, seulement, ils vont tenter de faire au mieux.