Publicité

Placement et Investissement

Défiscalisation Crédit en Ligne Plan Epargne Action Placement Financier Investissement Immobilier Bourse en Ligne

Espace Beauté

Produit Cosmétique Conseil Beauté Conseil Maigrir Séjour Thalasso Soin Visage Vêtement Mode

Achat en ligne!

Dvd Vierge Lecteur MP3 Cartouche Encre Ordinateur Portable Cd Vierge Téléphone Mobile Ecran Lcd

Contact

CONTACTEZ SEGOLENE ROYAL :

Pour contacter Ségolène Royal, par le biais de son association "Désirs d'avenir" : contact@desirsdavenir.com


CONTACTEZ LE BLOGGER :
Ecrire au gestionnaire du site


DESIRS D'AVENIR :
          Adhérez en ligne

Flux

  • Feed RSS 2.0
  • Feed ATOM 1.0
  • Feed RSS 2.0

Rechercher

6 décembre
Vous semblez avoir échappé à la dépression post-défaite qui a touché tous les candidats battus au second tour de l'élection présidentielle. Comment avez-vous fait ?

Ségolène Royal - Oui, c'est vrai. J'ai senti cela dès le soir du second tour. Malgré la défaite, je suis restée debout. Je n'ai pas pensé à moi-même, mais à tous les électeurs qui ont été déçus, parfois désespérés de ce résultat. Je me suis dit que, pour eux, Ségolène Royal n'existait pas, c'était la candidate qui était là qui avait incarné quelque chose et qui devait rester forte. Rester forte. D'une certaine façon, la fierté de cette campagne, j'ai continué à la porter après la campagne parce que quelque chose s'est levé, une espérance qui ne s'arrêtera pas.

Votre livre est intitulé "Ma plus belle histoire, c'est vous". C'est une conception romanesque de la politique ?

Non. C'est la traduction de la démarche participative que j'ai engagée. Aujourd'hui, on ne peut pas faire de la politique sans y associer les Français. Même si cette démarche a eu du mal à embrayer sur la seconde étape, celle des propositions, et c'est sans doute un des points faibles de la campagne. Mais, plus que jamais, la politique est une belle histoire dont les citoyens sont les premiers acteurs.

Le mot subliminal de votre titre, c'est le mot amour. On imagine déjà vos détracteurs s'agacer de voir à nouveau la ferveur qui a entouré votre campagne l'emporter sur la rationalité politique...

Tant mieux. La rationalité est largement répartie, la ferveur, ça n'est pas donné à tout le monde. Je crois que c'était un atout... Regardez ce qui se passe aujourd'hui en France, les gens ne s'aiment pas. Il y a une forme d'exercice du pouvoir qui consiste à rendre jaloux les uns des autres, à les dresser les uns contre les autres, ceux qui ont droit aux heures supplémentaires et ceux qui n'y ont pas droit, ceux qui sont méritants et ceux qui ne le sont pas, ceux qui se lèvent tôt et ceux qui travaillent tard... J'avais dit dans ma campagne que cela aiguiserait les tensions et les violences. C'est bien ce qui est en train de se passer, en particulier dans les banlieues, où rien n'a été fait depuis l'élection présidentielle.

Quelles sont, à vos yeux, les principales causes de votre défaite ?

Le manque de discipline, au bon sens du terme. Le manque de discipline dans mon camp, alors que j'avais été désignée par 60 % des adhérents. Cette règle commune aurait dû s'imposer à tous. Le manque de discipline aussi dans l'adhésion aux idées neuves que j'ai portées, d'évolutions profondes de la société française que j'avais comprises. Non pas moi toute seule, mais en écoutant les forces démocratiques, les experts, les sociologues, avec aussi mon expérience d'élue depuis plus de vingt ans. Je voyais bien les choses monter dans le pays. La démocratie participative nous a beaucoup appris sur un certain nombre de réalités qui n'ont pas suffisamment été prises en compte dans la campagne parce qu'elles heurtaient un certain nombre de dogmes socialistes. En particulier la question centrale selon laquelle la gauche, aujourd'hui, a la responsabilité de mettre en place les sécurités collectives qui permettent les choix individuels et les réussites individuelles. La gauche a toujours eu du mal à faire cette réconciliation. Et plus que jamais, c'est la gauche qui peut le permettre. C'est en sécurisant les gens, en luttant contre toutes les formes de désordre qu'on permet ensuite à un pays de se projeter dans l'avenir et aux citoyens de prendre des risques, et donc d'être créatifs et de relancer la croissance économique.

Vous n'aviez donc pas, et le PS non plus, une vision claire de l'état de la France, de ses attentes ?

Globalement, il y a eu peut-être un manque d'attention apportée aux mutations. Il y a eu aussi des synthèses un peu artificielles lors des congrès du Parti socialiste, parfois la crainte de trancher un certain nombre de questions qui fâchaient, le traumatisme lié au référendum européen qui avait divisé les socialistes. Bref, une certaine frilosité pour aborder des questions sur lesquelles nous n'étions pas forcément d'accord, mais qui, avec un travail approfondi, auraient permis de faire émerger des choix collectifs. Je pense à la question de l'identité nationale, aux questions liées à la sécurité, au débat sur la liberté de choix de l'école par les familles, à la question de la valeur travail. Autant de valeurs fondamentales que les socialistes ont trop longtemps laissées à la droite. Ce travail a été entamé pendant la campagne présidentielle. Nous devons le poursuivre.

La difficulté d'être femme en politique, à ce niveau, reste-t-elle l'une des explications centrales des réticences à l'égard de votre candidature ?

Oui, c'était une révolution. Il y a eu un procès lancinant en incompétence. C'est typiquement le procès que l'on fait aux femmes. En clair, il y a en politique des sujets de filles et des sujets de garçons. Les sujets de filles sont forcément secondaires : l'éducation, l'environnement, le social, le handicap, la famille. Tout ce qui passionne les Français et qui fait l'essentiel de leur vie quotidienne, car ce sont les domaines où ils mesurent le progrès social dont ils peuvent bénéficier. Et puis vous avez les sujets de garçons : l'économie et l'international. Forcément, une fille est incompétente sur les sujets de garçons. Eh bien, je revendique le fait que ces sujets de garçons - l'économie et l'international - sont des sujets très importants, dans lesquels j'ai aussi une compétence, sans doute à améliorer, ce à quoi je m'emploie. Car l'économie et l'international sont quand même au service du progrès social, du progrès éducatif, de la lutte contre les inégalités, de la remise en avant du facteur humain. Je revendique le droit pour les femmes à avoir cette double compétence, même si - je n'en disconviens pas - sur un certain nombre de sujets, comme les retraites ou le financement de la Sécurité sociale, je n'avais pas toutes les réponses.

Vous avez manqué de temps ?

Bien sûr. L'année qui a été prise pour le combat interne au Parti socialiste a manqué pour se rassembler au sein du Parti socialiste, pour commencer les convergences avec les autres forces de gauche démocratiques et de progrès dans le pays. Et aussi pour recaler un programme présidentiel à partir du projet du Parti socialiste.

En quoi cette campagne a-t-elle modifié votre analyse de la situation du pays ?

Je retiendrai surtout, au contact des centaines de milliers de Français, leur soif démocratique. Les Français veulent profondément que le pays se réforme, bouge. On dit, à tort, que les Français n'aiment pas les réformes. En réalité, ils veulent en comprendre la cohérence et avoir la garantie de la justice de ces réformes. Ce qui m'a frappé, c'est le sentiment d'un immense gaspillage de talents, d'énergie et d'imagination. Nous sommes dans une société qui n'est pas mise en mouvement et les choses s'aggravent aujourd'hui avec ce pouvoir personnel qui pense qu'il peut concevoir tout seul ce qui est bon pour la société. Je crois, au contraire, qu'un Etat et les pouvoirs publics sont là pour faire levier dans la société et mettre ses forces en mouvement.

Votre livre en témoigne : le désir d'avenir de Ségolène Royal est intact...

J'ai fait cet exercice qui n'était pas facile : faire le bilan de la campagne. Je veux que les leçons soient tirées pour les prochaines échéances, quel que soit le candidat. Ma détermination est totale, forte, passionnée, à m'engager dans ce qu'il est convenu d'appeler la rénovation de la gauche. Forte de cette expérience que je viens de vivre, je serai, d'une façon ou d'une autre, au premier rang de cette bataille et de cet effort.

Faut-il, pour gagner, que le PS change de nature, de projet, de fonctionnement ?

Il faut que le parti devienne attractif, qu'il attire de nouveau vers lui les mouvements, les forces intellectuelles et sociales du pays. Nous devrons réussir à accomplir un dépassement de nous-mêmes et faire en sorte que les autres forces de gauche, y compris les forces de centre et de centre gauche, viennent vers nous. Je conçois les alliances futures non pas comme des alliances entre appareils, je ne conçois pas la rénovation et la modernisation du PS comme un dérapage vers la droite ou vers je ne sais quelle social-démocratie...

Le mot vous paraît obsolète ?

Oui, obsolète et très connoté comme un déplacement à droite, comme s'il y avait une gauche inefficace et une gauche efficace qui serait plus à droite que celle qui est plus à gauche. Je ne crois pas du tout à cela. Je pense qu'il faut capter le meilleur dans tous les courants de pensée. On a beaucoup parlé de la main tendue à François Bayrou. C'est oublier que j'avais aussi confié une mission à José Bové sur la réforme de l'aide au développement. L'altermondialisme doit converger vers nous. Quant à l'extrême gauche, sa radicalité est nécessaire sur certains sujets, mais pas tous. Dans d'autres domaines, au contraire, il va falloir nouer des compromis sociaux pour que les réformes se fassent sans que les lois du libéralisme sauvage l'emportent.

Sur quel sujet la radicalité est-elle la bonne réponse ?

Pour la défense de la protection sociale et dans la lutte contre les franchises médicales. Nous ne devons absolument pas laisser faire le démantèlement de la protection sociale. Il faut également défendre de manière radicale les services publics, leur raison d'être, leur gratuité. Il en est de même pour résoudre le problème des banlieues et vraiment mettre en mouvement cette France métissée que j'ai évoquée et qui, parfois, a été mal comprise par un certain nombre de Français qui ont eu peur pour l'identité nationale.

Vous sentez-vous plus proche des idées de François Bayrou ou de celles d'Olivier Besancenot ?

Je ne fais pas de choix. C'est un dépassement dans le respect des identités de chacun de ces mouvements politiques. Le Parti socialiste peut redevenir une force centrale qui s'assume en tant que force centrale à gauche, capable d'associer ces différents courants. Je me reconnais dans les propos de François Bayrou sur l'impartialité de l'Etat et sur la droite, mais pas quand il en rabat sur la question des services publics. Je me reconnais dans Olivier Besancenot quand il demande la radicalité sur un certain nombre de sujets, mais pas quand il dit qu'il faut un mouvement social sur tous les sujets.

Avez-vous l'intention de prendre la direction du PS ?

Je vous confirme ma principale motivation : prendre, aujourd'hui, toute ma place au premier rang - mais il y a plusieurs personnes sur un premier rang. Tout ce qui a été débattu durant la campagne est une base extrêmement riche à partir de laquelle nous devons continuer à travailler. Ensuite, on verra le moment venu. Mais je ne veux pas que les socialistes restent sur cette défaite.

Ni vous ?

Ni moi. Je pense que nous sommes plus capables que la droite d'accompagner la mutation du monde et de réformer la société française sans brutalité. On peut faire l'alliance entre les générations. L'un de mes plus profonds regrets dans ce résultat, c'est de ne pas avoir su convaincre les personnes âgées. Je suis convaincue que la France ne peut avancer que si nous arrivons à réconcilier les générations. Ce travail au long cours auprès de nos anciens, j'ai bien l'intention de le conduire et de le gagner.
par Thomas publié dans : Ségolène
ajouter un commentaire commentaires (17)    créer un trackback recommander

Commentaires

Je vois que Ségolène reprend du poil de la bête et c'est tant mieux!!! Il est grand temps que Ségolène reprenne les rênes du PS car attendre nov. est de la folie.
Après 6 mois de sarkosy, on étouffe complètement et un peu d'air nous fera du bien! Merci à Ségolène et on est tous derrière elle, on attend ses directives.
commentaire n° : 1 posté par : Annie le: 06/12/2022 19:51:45
"Ce qu'on aurait pu faire de mieux, c'est d'être davantage en cohésion et en cohérence. S'il y a une leçon à tirer pour l'avenir, c'est ce devoir de cohérence idéologique, programmatique et de cohésion humaine et personnelle", "il n'y a de victoire possible pour la gauche, au-delà du choix du candidat ou de la candidate, que si elle est sur une ligne claire sur le plan stratégique, si elle est sur une position compréhensible, lisible, crédible pour les Français et enfin, si elle est dans une démarche collective". Pas toujours à côté de la plaque, Hollande
commentaire n° : 2 posté par : Martin P. (site web) le: 06/12/2022 20:08:32
je suis de tout coeur avec vous et vous soutiendrai jusqu' au bout... Enfin une personne humaine, authentique, sincère qui dit tout haut ce que tout le peuple pense tout bas!
commentaire n° : 3 posté par : emmanuelle le: 06/12/2022 21:20:24
effectivement il va faloir etre trés clair car nous sommes nombreux à soutenir ségolène pour la victoire 2012  et  nous prennons déja du retard avec  encore des choix pour la tete du parti il y a une réel attente et de nombreuses initiatives peuvent démarrer  mais il faut perdre encore du temp avec d'autre ' batons dans les roues' pour freiner(Arnaud avait il raison? 'le probléme  c'est hollande')
dans un parti socialiste en perte de vitesse inactife, stéril ,que je vais bientot quitter  si la reconnaissance  au premier rang de ségolène Royal tarde.
Une  des raisons de la défaite est maintenant évidente car le camp d'en face était tout simplement  souder derriere son candidat.
Se qui est loin d'etre le ca  dans le notre avec maintenant Delanoé qui a des projets présidentiel  alors il faudras encore perdre du temp et organiser un vote (ral  bol!) .
commentaire n° : 4 posté par : patrick le: 06/12/2022 23:02:44
Madame la Présidente
Avec ce livre vous allez parcourir la france, aller dans les média aller la rencontre des français , vous avez les élèctions municipales à faire gagner pour renforcer le pouvoir local et donner une visibilité aux réalisations de la majorité régionale de gauche.
Ce qui vous a manqué pour gagner le 6 mai vous le savez.
Après le livre bilan il faut écrire le manifeste pour la nouvelle République, sans attendre la renovation du PS et la fin des règlement de compte, votre présence au 2nd tour vous désigne comme chef de l'opposition face à "l'omni-plenipotent", avec calme et douceur soyez plus politicitienne affichez votre ambition Ceux qui vous suivent sont impatients . Rendez vous plus visible plus audible, exercez votre capacité de revolte n'attendez pas que le PS soit actractif il faut allez chercher les militants.
commentaire n° : 5 posté par : Pierre du Fief le: 07/12/2022 01:00:54
L'idée encore mal comprise défendue par Ségolène Royal comme par Julien Dray d'une coalition "arc-en-ciel" allant de la gauche radicale au centre-gauche doit interpeller tous les citoyens et mouvements politiques inquiets de la politique du nouveau pouvoir.
Car le sarkozysme n'a que peu à voir avec la droite RPR et nous impose un tournant historique que la gauche ne saurait "louper".
N'oublions pas le ministère de l'identité nationale, les voix du FN, l'immigration choisie, les tests ADN, le démantèlement de la Sécurité sociale, le régime des "conseillers présidentiels, le discours sur l"homme africain", la connivence avec Bush, les velléités sarkoziennes d'amendement de la loi de 1905, les menaces pesant sur la liberté de la presse etc.
Le sarkozysme n'est pas compatible avec l'article Ier de la Constitution qui pose que: "La France est une République indivisible, laïque, démocratique et sociale". Sur la méthode comme sur le fond. Ce qu'il faut marteler et démontrer au vu des mesures engagées. C'est se fondant sur cet article que le Conseil constitutionnel a censuré les statistiques ethniques.
C'est aussi sur le thème de l'union des républicains que Bayrou, Hollande, Goulard, Villepin, les communistes, les verts, des altermondialistes se sont retrouvés pour dire NON aux tests ADN. Union qui devrait se poursuivre sur d'autres sujets -notamment l'internaitonal. La nouvelle droite est bien en rupture, mais avec la République elle-même.
C'est en déclinant les principes de ce Ier article qu'un 1er jalon vers cette union "arc-en-ciel" pourrait être posé. Et le PS rénové devra tout faire pour sensibiliser ses dirigeants les plus médiatiques -car le système marche ainsi- comme tous ses alliés présents ou potentiels à cette nouvelle réalité. Je crois que face au sarkozysme il faut aussi que la gauche fasse rupture notamment avec sa vieille stratégie d'alliance, même si je sais qu'au plan national, les difficultés seront immenses. Le cycle d'Epinay n'est pas indépassable, surtout face à ce tournant historique.
Bien cordialement à tous! Et bravo à Ségolène pour tant d'audace!
commentaire n° : 6 posté par : Citoyen r j (site web) le: 07/12/2022 01:20:46
je pense qu'il faut embrayer ma machine a faire des emules pour gagner les municipales et etre pret pour 2012 Nous avons confiance en vous Attention aux croches pieds carils n'ont pas dit leur dernier motsPrudence
commentaire n° : 7 posté par : charlec le: 07/12/2022 02:11:20
C'est un vieux qui vous écrit ,et qui vous soutient depuis Avril ;
pour vous dire qu'une grosse majorité des vieux ,on toujours la
mentalité de ne pas donner la responsabilité du pays à une Femme ,
et ils sont fascinés par les discours de Sarko surtout sur 2 sujets l'augmentation des retraites pour certains et la réduction des
taxes sur les transmitions de patrimoines ;ils vivent dans le confort des 30 glorieuses et qu'ils vivent dans la sécurité que
Nicolas à promis parce que j'en connais qui son contre leurs
petits Enfants quand ils vont défiler dans la rue , et que la gauche
n'a rien fait pour les empècher de se droguer . jcjoury@wanadoo.fr
commentaire n° : 8 posté par : joury (site web) le: 07/12/2022 10:53:09
Ségolène, j'ai 73 ans, mes frères et soeurs se situent entre 83 et 78 et nous avons tous voté pour vous et je connais beaucoup de personnes agées qui ont fait de même. Et la prochaine fois nous recommencerons si Dieu nous prète vie. Faites confiance aux militants, ils sont nombreux à vous attendre.
commentaire n° : 9 posté par : Legouy le: 07/12/2022 11:16:20

Chère Ségolène,

Je vous félicite pour cette interview et pour votre passage hier soir chez Arlette Chabot. Dans les deux cas, vous  y êtes apparue dynamique, sereine, décidée et capable de faire une saine relecture d'une expérience récente et de préparer l'avenir en ayant tiré les leçons du passé.
Gardez votre spontanéité,  votre audace, votre capacité à vous révolter, votre sincérité pudique et n'acceptez plus les questions ineptes qui, de fait, ne seraient jamais posées à un homme.
Concentrez vous sur l'essentiel qui est la rénovation du parti socialiste et le lancement d'un programme alternatif pouvant déboucher sur une alliance avec le MODEM construite et réfléchie et non pas induite dans l'urgence par le constat de résultats électoraux .
Comme je l'ai déjà écrit sur ce blog,  je ne vois personnellement qu' une alliance MODEM-PS rénové pour mettre fin au sarkozysme à moyen terme. 

Bon courage

commentaire n° : 10 posté par : Béranger Etienne (site web) le: 07/12/2022 13:49:21
bonjour a tous! peut on me dire les moyens d'adherer au ps autres que internet. j'ai 19 ans et j'habite a valentigney (doubs). vous avez mon mail. merci.
commentaire n° : 11 posté par : andre le: 07/12/2022 16:03:12
vous sortez encore pluus forte de cette capagne qui autait pu vous détruire,bravo!nous avionns raison de croire en vous.
.Non,nous n'avons pas perdu,car vous avez donné aux français une nouvelle façon de faire de la politique ainsi qu'une orientation plus adaptée au monde actuel pour la gauche.Si aujourd'hui vous étiez présdente,nous serions enfin dans une république réellement démocratique !
commentaire n° : 12 posté par : milon le: 07/12/2022 18:30:05
Merci pour votre livre qui prouve (comme je l'avais compris.) que vous êtes capable de vous remettre en question, (contrairement à ce que disent vos détracteurs) mais aussi et surtout capable et compétente pour être Présidente de notre beau pays. BON, cela n'est pas nouveau !

Ce que vous dîtes dans ce superbe livre, loyal, sincère,
réfléchi, pudique, dans une vraie proximité avec les lecteurs, simple au sens du mot, émouvant par endroit, ferme dans d'autre, tout citoyen observateur qui a suivi la campagne de très prêt, l'a vu, entendu et malheureusement subi avec vous.
OUI, les ténors du PS ne voulaient pas.... OUI, SARKOSY et son entourage ont fait un travail d'orfèvre, et ils continuent et continueront d'ailleurs.... mais là c'est au moins compréhensible...!
Oui le PS vous a isolée, et le FAIT ENCORE...seulement voilà, il y a un gros problème, la base des militants vous ont élue, et des millions d'autres personnes vous soutiennent aussi ardemment, encore.
J'ai pris ma carte au PS juste pour une seule raison, pouvoir voter pour vous, la prochaine fois. J'epère vous élire à la tête de ce "foutu" parti, qui ne veut ni ne peut admettre une évidence grosse de
millions de voix, c'est que le peuple à gauche, c'est VOUS qu'il réclame, et pas quelqu'un d'autre.
Le spectre de Delanoe, au prochaine Présidentielle, est la preuve de l'entêtement du PS à ne pas légitimer sa candidate, comme 17 millions de citoyens l'ont déjà fait.
Alors si il y a un autre candidat que vous, la gauche reperdra, car la gauche, n'aura pas respecté les citoyens et la démocratie.
C'est sûr qu'à ce petit jeu, SARKOSY, GUAINO ET LES AUTRES RIGOLENT...ils n'ont besoin de rien faire, la gauche vous massacre...toute seule, DU JAMAIS VU en politique.
Ségolène si le PS continue à ne pas vous légitimer à LA PREMIERE PLACE qui est depuis la présidentielle, naturellement la vôtre, c'est qu'ils ne veulent pas voir, ni comprendre, que si vous êtes arrivée au second tour avec 17 millons de VOIX, c'est parceque c'était VOUS, SEGOLENE ROYAL, FEMME EXTREMEMENT COMPETENTE EN POLITIQUE, et PAS QU'ELQU'UN D'AUTRE !
Alors il faudra être encore plus créatif, et inventif c'est à dire:
Créer un large parti de gauche et d'ouverture, pour ceux qui reconnaissent votre compétence depuis toujours..... Ce serait le plus grand parti en adhérent, et en idées adaptées à notre monde d'aujourd'hui.
A la télé vous avez été top ; les épreuves aussi pénibles soient-elles vous ont donné une maturité politique, intellectuelle et physique qui vous sied à ravir.
Nous sommes nombreux derriere vous, et c'est sans doute cela qui gêne tant...
NON ce que nous avons commencé ne s'arrêttera pas, NON l'avenir ne se fera pas sans vous, NOUS SOMMES DETERMINES.
Merci Ségolène pour tant de belles phrases dans votre livre, notamment celle-là :
"UN JOUR JE GAGNERAI POUR VOUS"
Un jour nous gagnerons avec vous.
Merci grande dame en competence, et en humanité.
MOI, tout en respectant Françoiis HOLLANDE, pour tout le travail accompli, et encore à faire, je trouve que LA PERSONNE LA PLUS BRILLANTE DE SA GENERATION, en politique C'EST VOUS, SEGOLENE.
commentaire n° : 13 posté par : marteline le: 09/12/2022 16:32:14
J'admire votre courage et prestation. si tout le monde agissait comme vous,le monde ne serait pas ce qu'il est aujourd'hui.Toute mes félicitations.Tenez bon et continuez ainsi. Le Seigneur est avec vous.Votre admiratrice.
commentaire n° : 14 posté par : Elyse (site web) le: 09/12/2022 16:55:37
bonjour a tous! peut on me dire les moyens d'adherer au ps autres que internet ainsi que les modalités. j'ai 19 ans et j'habite a valentigney (doubs). merci de repondre par mail
commentaire n° : 15 posté par : andre le: 09/12/2022 17:32:39
Madame ROYAL j ai vote pour vous et la prochaine fois apres avoir lu votre livre non seulement je re voterais pour vous mais je mettrais 4 bulletins tellement je suis encouragee oar votre personnalite et je savaicourage SEGOLENE VOTRE VRAI PARTI C EST NOUS ET CROYEZ MOI NOUS SAURONS LEUR MONTRER COMBIEN NOUS VOUS AIMONS
commentaire n° : 16 posté par : HARDOUIN N le: 10/12/2022 08:40:46
Je suis très heureuse de revoir Madame Royal à l'écran et en interview.  J'avais peur que vous restiez absente trop longtemps, même si je savais que c'était une période de réflexion.  Et je vous retrouve en pleine forme intellectuelle ; vos discours sont tellement réfléchis, je ne comprends pas comment les gens ne peuvent pas y adhérer.  Je suis en admiration devant vos qualités ; vous avez l'air tellement sûre de vous, c'est épatant !  Je vous ai retrouvée très sereine par rapport à vos détracteurs, alors si cela n'est pas une preuve d'intelligence !  Ils n'ont aucune leçon à vous donner...
Je tiens aussi à vous féliciter pour votre livre : je le trouve particulièrement bien conçu : clair, compréhensible, des sujets brefs sans détails inutiles, et des propos tellement vrais !  On sent parfaitement votre honnêteté, votre loyauté, et votre dévouement pour les français. Malheureusement je suis belge, mais une de vos plus grandes admiratrices.  Continuez Madame Royal !!! 
commentaire n° : 17 posté par : Catherine Gilbert (site web) le: 11/12/2022 17:18:47

Trackbacks

Aucun trackback pour cet article
ajouter un commentaire créer un trackback
Contact - C.G.U. - Rémunération en droits d'auteur avec TF1 Network - Signaler un abus