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n'en faites pas trop quand même ! il serait plus judicieux d'attendre que Francois Bayrou s'exprime sur ses intentions (demain semble-t-il), ses électeurs ont droit à ce délai de gestation... Segolène Royal a été parfaite -comme d'habitude- dans sa proposition de dialogue ouvert et public, c'est bien ainsi. Sobriété et confiance.
Le débauchage c'est en face, de toutes les manières connues et inconnues. On connaît tout cela trop bien et l'épisode Besson est un cadeau tant il est grotesque, vil et méprisable. Qu'ils l'exhibent souvent !
La république du respect commence par le respect de l'électeur. Et ceux de Bayrou -beaucoup de jeunes autour de moi- y seront sans douite encore plus sensible que bien d'autres.
Inconditionnel des premiers jours.
alain schmit-delmas, Barcelone (ou SR a battu NS !!!)
ouverture au centre, certes, mais sans fermeture aux gauches diverses... Et si ils en parlaient tous ensemble ??
Depuis toujours ma couleur est orange. J'ai toujours respecté les idées de autres. mais ce que je n'arrive pas a comprendre, c'est ce revirement de situation. Conspués jusqu'a soir, les centristes n'avaient aucun programme et n'etaient pas interessants.
Depuis soir, les 2 candidats restants ne cessent de faire des appels du pied, ne cessent de laisser des messages sur le répondeur de FB.
Auriez-vous besoin de nos voix ?!
Rien ne sert de courir, il faut partir à point, et sans confondre vitesse et précipitation.
Il me semble que Bayrou ne peut pas être le 1er ministre de Ségo car s'ils ont des points communs, ils ont aussi des divergences importantes. Attendons la réponse de Bayrou à Ségo. et nous verrons bien ce qu'il est possible de mettre en commun. Bayrou, chef de l'éxécutif, c'est créer une "cohabitation" d'un nouveau genre, mais surtout non justifiée par les urnes.
Je trouve l'idée que Ségo face aussi des propositions de points communs au reste de la gauche est excellente. Elle sera comme ça en position de faire la "médiatrice" et trouver les solutions communes sans marchandages de tapis - ce qui nous a été formellement promis.
Je pense que le premier ministre doit obligatoirement faire partie de l'équipe Ségolène dans sa pré-campagne du PS. Pas question pour moi d'y mettre des ex-ennemis même s'ils soutiennent la campagne nationale ce qui me semble la moindre des choses, ni des divergents. Par contre, on peut confier à des "nouveaux venus" des postes où nous sommes en accord et où ils semblent performants pour la fonction.
ca ne va pas être facile et nous avons besoin de nombreux ralliement.
Il serait bon de dire à votre père (dont j\\\'ai , contrairement au plutôt lourd Montebourg, tjrs apprécié l\\\'humour et le talent de négociateur), qu\\\'il se calme et ne gâche pas les négociations qui s\\\'annoncent. Qt aux pachidermes, rappelez-leur qu\\\'en 2002 bcp de soc. de la tendance social-démocrate avaient déjà voté Bayrou ou s\\\'étaient abstenus au 1er tour. Cette fois ils ont presque tous voté Bayrou au 1er tour et s\\\'abstiendront si un accord sur le fond ne se fait pas avec les libéraux. alors qu\\\'ils fassent les comptes!
Et vous savez bien qu\\\'on ne pourra jamais rien faire avec la LCR et LO, même si ce qu\\\'ils disent n\\\'est pas faux et bienque les solutions qu\\\'ils proposent ne soient pas ttes possibles, voire acceptables.
Cordialement J.d
Je me permets de vous envoyer un article fort à propos
« Le mirage du compromis à l'allemande
Point de vue
Pour dissiper les doutes sur les chances de création et les succès promis d'un gouvernement d'"union nationale", le candidat Bayrou regarde outre-Rhin. Il se réfère de plus en plus souvent à un cas qu'il juge à même d'illustrer la pertinence de son projet gouvernemental : la "grande coalition en Allemagne" - l'alliance formée par les deux grands partis de gauche et de droite qui gère le pays depuis novembre .
Cette comparaison laisse perplexes ceux qui suivent la politique allemande de près. Aujourd'hui, les deux tiers des Allemands ne sont pas satisfaits du travail du gouvernement. La fin anticipée de ce régime politique exceptionnel - que le pays n'a connu qu'une fois avant l'épisode actuel, entre 1966 et 1969 - est désormais ouvertement évoquée par les hauts responsables des deux partis. La presse parle de "blocage" et d'"années perdues".
Que dit M. Bayrou sur l'Allemagne ? Il se félicite du "gouvernement d'union", fait des références détaillées aux résultats économiques " époustouflants" et en tire une conclusion simple : "Cela prouve que, quand on rassemble les forces d'un pays et que l'on prend les décisions qui s'imposent, alors les résultats suivent. Les Allemands ont adhéré à la démarche proposée par le gouvernement d'Angela Merkel, parce qu'ils ont bien vu que leurs responsables de tous bords avaient décidé, désormais, de se mettre, au moins pour un moment, au service de l'intérêt général du pays et non plus au service des intérêts partisans."
Ce raisonnement contient trois erreurs : un malentendu sur l'origine de la grande coalition en Allemagne, une illusion sur son fonctionnement réel, et finalement un contresens sur les raisons des succès économiques récents.
Le gouvernement allemand actuel ne représente certainement pas un "gouvernement d'union", tel qu'il semble être préconisé par M. Bayrou. Son origine est fondamentalement conflictuelle : l'image du mariage forcé serait plus appropriée. Le soir des élections législatives, faute de majorité absolue au sein de chaque bloc politique, les deux grands partis ont à choisir entre la crise institutionnelle (dont l'ultime conséquence est le retour forcé devant les électeurs) et le pacte avec l'ennemi.
La grande coalition naît alors d'une méfiance extrême entre les deux partis, donnant lieu à des négociations longues et dures qui aboutissent à la signature d'un "contrat de coalition" détaillé. Le système allemand a l'habitude de ce genre de négociations : toutes les coalitions définissent en début de législature les grandes lignes de la politique à suivre. Mais plus encore que les contrats de coalition classiques, un contrat de grande coalition vise surtout à limiter le champ d'action du gouvernement et les impulsions données par le chancelier. Il repose sur le plus petit dénominateur commun du programme des deux grands partis et rend donc quasi impossibles des choix visionnaires ou courageux.
Le nombre de politiques allemands préconisant ouvertement une grande coalition avant des élections est extrêmement faible. Il y a quelques cas au niveau régional où ce type d'alliances fonctionne pendant plusieurs législatures et est reconduit même en présence d'options plus homogènes. Mais sur le plan national, la grande coalition reste une anomalie.
Les clivages entre la gauche et la droite sur les grands chantiers de la politique nationale sont tout simplement irréductibles. L'obligation momentanée, imposée par le système électoral aux partis, de dépasser leurs clivages n'y change rien. A titre d'exemple, l'Allemagne vient d'assister à l'échec retentissant de la réforme nécessaire de l'assurance-maladie. Cette réforme avait été considérée comme l'un des projets-phares du gouvernement Merkel. Malheureusement, les visions des deux grands partis étaient extrêmement éloignées.
Le résultat est un compromis dans le plus mauvais sens du terme. Chaque parti a réussi à protéger ses pions, mais les problèmes sont loin d'être résolus. Ce type de réforme ratée est symptomatique d'une grande coalition à l'allemande. Contrairement à ce qu'on pourrait penser, celle-ci a tendance à empêcher les "bons compromis" - si fortement ancrés dans la vision française de la politique allemande - à cause de son caractère provisoire et institutionnellement conflictuel. Comme les deux grands partis savent qu'ils s'affronteront aux prochaines élections, la grande coalition allemande représente un armistice instable. Les deux partis cherchent constamment des options pour quitter le pacte, flirtent avec les petits partis et utilisent toutes les possibilités pour affaiblir l'adversaire-partenaire. La grande coalition, c'est la continuation de la politique partisane par d'autres moyens.
Ce serait par ailleurs un contresens d'attribuer les réussites récentes de l'économie allemande aux vertus de cette grande coalition. Les réflexions de M. Bayrou suggèrent que c'est grâce à la grande coalition que l'Allemagne va mieux. Cela revient à insinuer que le pays serait en moins bonne santé économique sous un gouvernement "pur" de gauche ou de droite. Rien n'est moins sûr.
S'il convient d'une manière générale d'être hésitant quant à la capacité des gouvernements à influencer la croissance à court terme - la grande coalition est en place depuis dix-huit mois -, il n'y a, dans le cas présent, aucune réforme susceptible d'expliquer l'accélération phénoménale de la croissance et de l'emploi en Allemagne. La seule "réforme" économique mise en place par la grande coalition et déjà en vigueur est la hausse de la TVA...
Les raisons de la reprise allemande sont multiples, mais elles sont détachées de la politique actuelle. C'est tout d'abord la restriction salariale négociée entre les syndicats et le gouvernement Schröder (coalition entre la gauche et les Verts) pendant près d'une décennie qui a permis aux industries allemandes de regagner de la compétitivité par rapport à leurs concurrents - notamment européens. Il y a aussi un simple effet de rattrapage : les faibles taux de croissance allemands pendant les dernières années sont aujourd'hui en partie compensés. Il y a enfin un effet structurel d'accélération de la croissance en Allemagne de l'Est. Cet effet reste relativement marginal, mais il contribue à créer un contexte favorable.
Quant au déficit budgétaire, variable-clé utilisée par M. Bayrou pour chanter l'éloge du miracle allemand, il a tout simplement baissé grâce à la reprise de l'économie allemande. La part de politique active de réduction du déficit est restée limitée à la hausse de la TVA déjà évoquée. Mais même cette hausse semblait être déjà acquise avant les élections législatives : le camp conservateur avait fait campagne sur la nécessité de l'augmenter.
Essayer de convaincre les électeurs français qu'un gouvernement d'union nationale à la française pourrait réussir de la même manière que la grande coalition "réussit" en Allemagne est un non-sens. S'il ne s'agit point de remettre en cause le programme du candidat ou son éligibilité - ces questions ne me concernent pas -, soumettre à une critique détaillée l'admiration de M. Bayrou pour la grande coalition allemande paraît plus qu'opportun. Vue d'Allemagne, elle apparaît comme une idolâtrie injustifiée.
Henrik Enderlein, titulaire de la chaire Fulbright sur l'Allemagne contemporaine à l'université Duke (Etats-Unis)
Article paru dans l'édition du 14.04.07 »
Bref, passer à l’orange est plus que dangereux pour une conduite sereine des convictions dès lors qu’on a du monde à bord.
Vu du terrain, le moins que je puisse en dire c’est que le parti de l’UDF connaît de graves contradictions entre son discours et les agissements de ceux qui se réclament de son étiquette.
Demandez à un proviseur de lycée public ce qu’il pense des Présidentes d’association de parents d’élèves chrétienne qui sont aussi Présidente du groupe politique d’opposition d’apparat.
Le cumul affairiste des mandats n’est plus l’apanage de « l’union pour une minorité de privilégiés », c’est aussi une stratégie d’emprise courante dans les rangs de « l’union des fouines ».
Baygon orange serait bien inspiré de pratiquer un nettoyage de printemps au « saint » de ses oailles.
Si convergences il y a, elles doivent être bien fines et de fait bien fragiles.
encore une fois et ce blog le montre, vous éditez les commentaires qui sont uniquement en faveur de ségolène royal, et vous vous dites impartials! vous prenez ce qui vous interesse uniquement on le voit bien au 2è tour quand vous faites les yeux doux à bayrou alors que durant votre campagne du 1er tour vous n'avez pas cessé de l'ignorer.vraiment vous me donnez envie de vomir
c'est bien de rappeler les points de convergence mais il serait également bien de dire clairement que votre but est de tenir compte de la majorité des français, ceux de gauche, ceux qui ne sont convaincus et les autres, pas de "faire un appel du pied" comme le disent les journalistes. Une fois le débat avec M. Bayrou passé, donnez à ce moment-là les convergences et justifiez les éventuelles adaptations par le fait d'aller dans le sens de la France et non pas d'un idéal de quelques riches personnes comme votre adversaire.
Et s'il vous plaît, croyez en la force de vos discours et mettez-y de la vie. Les gens non convaincus ont l'impression que vous récitez, je l'entends beaucoup, et cela ne met guère en confiance.
Je vous fait tout de même confiance et j'y crois pleinement.
Bravo Thomas ; enfin des courriers clairs avec des arguments précis pour nous aider à soutenir Ségolène ...
Une avancée vers Bayrou ce n'est pas se désavouer ,c'est rester dans la logique que Ségolène a dés le début mise en place "être à l'écoute de TOUS LES FRANCAIS," et ceux qui ont voté pour Bayrou ont le droit que Ségolène prenne en compte leurs attentes.
Merci à la gauche, TOUTE la GAUCHE de ne pas s'enfermer dans un sectarisme qui rejète mais de savoir évoluer vers une écoute de TOUS les citoyens sur ce qui les rapproche tout en défendant précieusement et sans compromis ce qui fait notre identité.
Laissez parler le plus souvent possible DELANOE à la télé et la presse.... il est convainquant, il sait ramener sarkosy à ce qu'il est "un menteur dangereux ", sans jamais l'insulter ou donner le sentiment d'une animosité sectaire : il garde de la hauteur mais sait parfaitement bien répondre du tact au tact avec des phrases qui convainquent....
Je parle, mais j'écoute....continuons et nous changerons ensemble cette France qui espére quoiqu'on en dise.
Que l'on montre a Bayrou que son programme est plus proche du notre que de celui de Sarko OK, c'est logique. Mais etait-il nécessaire de lui offrir des ministères ?
Il me semblait pourtant que le point de vue de François Hollande etait clair : pas de tractation avec la droite !
c'est uniquement sur la base du pacte présidentiel que l'nite doit se faire. nous militant PS de tendance gauche, avons su mettre nos aspiration de coté pour que le PS gagne, mais cette démarche est de trop!
Je ne veux pas d'une coalition, je ne veux pas la mort du dernier parti de gauche, s'il n'était le tout sauf Sarko : le 6 mai je ne voterai pas !
Hier, sur France 2, j’ai suivi "A vous de juger" avec comme invitée Ségolène Royal :
Elle y fut, Ségolène, admirable. Face à deux journalistes pas toujours complaisants et attentionnés il faut bien le dire ces réponses furent toujours pertinentes, dignes et courtoises. Oui, Ségolène ROYAL a démontré, si démonstration est encore à faire, qu’elle a bien plus que l’envergure d’un simple homme d’Etat (sens propre et figuré). Oui, elle est, Mme ROYAL, une femme d’Etat en puissance. Ses aptitudes, sa force de travail, son sens de l’écoute, ses dispositions à la démocratie participative, à la paix sociale sont probantes. L’intégrité, la fermeté, la loyauté sont également les facteurs essentiels qui caractérisent son ascension à la présidence de
Inutile
de préciser que ses compétences politiques valent très largement celles de son opposant. Oui avec Ségolène ROYAL chaque Français pourrait redevenir un électeur respecté, un citoyen considéré, un individu heureux, un humaniste affirmé. Dans ses discours Ségolène incite sans cesse le peuple français à mieux maîtriser son histoire, à mieux cerner les grands problèmes de la société, à bâtir plus sereinement le présent, à prendre en main sa vie avec courage et sérénité, à construire l’avenir. Demain ce sera le grand oral pour elle, Sarkozy son détracteur est loin d’être un modèle, toutes les analyses le confirment. Et si le résultat du premier tour est en sa faveur rien n’est encore joué pour la finale. Personnellement, je pense et je ne suis pas le seul à l’affirmer, que si les médias et notamment les informations à la télévision avaient été moins impartiales, plus équitables, plus honnêtes l’écart des voies ne serait pas celui que nous connaissons. Battons nous donc avec Ségolène pour une France plus juste. Ségolène Présidente ? Oui, nous aimons son courage, sa civilité, son intelligence, sa largeur d’esprit, son ouverture vers autrui… Bon courage Mme ROYAL et à bientôt !
Bonjour,
Je suis une militante anonyme comme bcp et j'aimerais dire que je serais contente qu'une débat Royal/Bayrou ai lieu, même si apparement il y aurait des pressions pour qu'il ne se fasse pas ...
j'aimerais soumettre mon idée (qui a peut être été soumise mais que j'ai pas vu)... Pourquoi, vu que personne ne retransmettra ce débat, ne pas le faire sur Internet??
à bientôt
Franchement elle fait souci... je ne porte pas de culte particulier pour Sarko mais quelle souche cette socialiste..
J'avoue etre pour Bayrou , mais ségolene Royal semble aimer le débat avec le centre , cela m'intéresse et son projet a quelques point commun avec le notre , comme la rénovation du syteme politique , l'europe ...
Je pense que je voterai pour elle et inciterai mes amis à en faire de meme ^^
Vive l'amitié Ps-Udf
Mais où sont donc passés les commentaires acerbes à l'encontre de M. Bayrou? La candidate aurait-elle retourné sa veste de tailleur?
Vraiment, qui peut croire cette candidate, qui veut emmener notre pays droit vers le précipice mais en souriant.
Vous avez la mémoire bien courte a moi de vous la rafraichir Avez-vous déjà oublié q'à la veille des élections Jack Lang pour n epas le nommer Royal elle-même rejetait toute alliance avec l'UDF Elle a pris cette décision de se rallier à lui sans même en référer à son staff si bine que même au sein de son parti certains dénoncent ses méthodes . En fait Royal qui se verse déjà un salaire Royal de 30000euros mensuel ( alors que son compagnon prétend qu'on est riche quand on gagne 4000 euros mensuels) prend comme sous l'ancien régime des décisions toutà fait arbitraires sans consulter la base . Voilà ce qu'elle appelle la démocratie participative et voyez avec quel mépris elle traite ses propres électeurs en les faisant poireauter 2 heures pour un minable discours Oui elle est libre ne l'at-elle pas affirmé ? Libre oui mais au mépris de la démocratie elle-même
de la part d'une algérienne qui souffre de l'émigration de son mari depuis le 5 juin 2002 il est parti en france pour faire une sétuation mais sa a tourné mal. malgré qu'on est mariés mais en s'est pas rencontrés sa fait 6 ans je l'aime il m'aime et en souffre de cette sépartion il veut entré en algérie mais il ya le probleme de papiers et la loi en france interdi les papiers pour les émigrés s'il vous plais mettez dans votre programme notre probleme en concidération avec tous mes respects.
Madame,
Comme tant de mes compatriotes, j’ai suivi, jusqu’au bout, le débat entre vous et monsieur Sarkozy. Permettez-moi de vous dire, Madame, que vous avez largement dominé votre interlocuteur, que vous avez laissé une impression extrêmement rassurante, et que vous êtes sortie grandie de cette épreuve. Je vous félicite personnellement. Vous avez passé avec succès votre « test ».
En ce qui me concerne, je n’ai jamais douté de votre sincérité, de votre loyauté et de votre pugnacité, mais aujourd’hui j’espère sincèrement que les Français indécis (il y en a encore hélas !) auront compris qu’au-delà des chiffres, des budgets, des programmes, c’est tout un choix de société qui est mis en balance.
La « colère » que vous avez manifestée hier, était tout à fait justifiée, et j’approuve votre réaction. D’ailleurs, comment ne pourrait-il pas en être ainsi, face à un interlocuteur intraitable qui veut imposer sa seule loi et qui ne cesse de brandir les menaces si l’on n’obtempère pas ?
Madame, je vous admire, j’espère en vous, et puisse Dieu vous aider à devenir notre Présidente et à instaurer une société pacifique, tolérante et fraternelle, dans cette France qui en a tant besoin.
En vous réitérant mon admiration et mon soutien sans réserves, je vous prie de croire, Madame, à l’expression de mes sentiments respectueux.
J.M LAFON
Retraité.
lafonjm@wanadoo.fr
malgré la défaite félicitations pour votre campagne, vos idées. Je pense que le réveil de la France sera très difficile et d ici peu de temps vous n avez rien a vous reprocher . Bravo
ma famille se joint a moi pour vous souhaiter bon courage
Maryse
Ce sera tellement difficile pour réformer qu'ils pourraient assumer tous les deux cette tache en complémentarité.