La présidente du MEDEF Laurence Parisot a rencontré après-midi Ségolène Royal pour une "réunion de travail" sur les questions de "compétitivité des entreprises", du "dialogue social" et de la "représentativité des syndicats".
A la sortie du quartier général de campagne la candidate socialiste à l'élection présidentielle, la présidente du Mouvement des entreprises de France s'est déclarée "satisfaite" de cet entretien. "Nous avons des approches qui ne sont pas si éloignées l'une de l'autre", a-t-elle assuré, même si "sur les solutions et les remèdes, il peut y avoir des divergences".
"Tout le monde est d'accord pour dire qu'il y a un enjeu de la compétitivité" qui est "fondamental pour les entreprises", a poursuivi Laurence Parisot. "Pour résoudre ce challenge", Ségolène Royal est, selon elle, favorable à une "approche gagnant-gagnant, qui tienne à la fois compte des entreprises, des salariés et du pays".
Mme Parisot a précisé qu'elles avaient également discuté du "dialogue social" et de la "représentativité des syndicats", et qu'elles étaient d'accord sur le fait qu'il faudrait "des adhésions plus massives aux organisations syndicales, et que pour cela la bonne solution est de donner un véritable rôle aux partenaires sociaux, organisations syndicales et patronales".
La présidente du MEDEF a également déclaré que Ségolène Royal n'était pas forcément favorable à "plus de lois et de règlements", pour que la France trouve "la clé du succès".
Laurence Parisot s'était fixé comme objectif de rencontrer une majorité de candidats à l'élection présidentielle pour faire valoir la voix des entreprises. Ségolène Royal avait quant à elle prévu de rencontrer tous les représentants d'organisations patronales et syndicales avant de s'exprimer.
A la sortie du quartier général de campagne la candidate socialiste à l'élection présidentielle, la présidente du Mouvement des entreprises de France s'est déclarée "satisfaite" de cet entretien. "Nous avons des approches qui ne sont pas si éloignées l'une de l'autre", a-t-elle assuré, même si "sur les solutions et les remèdes, il peut y avoir des divergences".
"Tout le monde est d'accord pour dire qu'il y a un enjeu de la compétitivité" qui est "fondamental pour les entreprises", a poursuivi Laurence Parisot. "Pour résoudre ce challenge", Ségolène Royal est, selon elle, favorable à une "approche gagnant-gagnant, qui tienne à la fois compte des entreprises, des salariés et du pays".
Mme Parisot a précisé qu'elles avaient également discuté du "dialogue social" et de la "représentativité des syndicats", et qu'elles étaient d'accord sur le fait qu'il faudrait "des adhésions plus massives aux organisations syndicales, et que pour cela la bonne solution est de donner un véritable rôle aux partenaires sociaux, organisations syndicales et patronales".
La présidente du MEDEF a également déclaré que Ségolène Royal n'était pas forcément favorable à "plus de lois et de règlements", pour que la France trouve "la clé du succès".
Laurence Parisot s'était fixé comme objectif de rencontrer une majorité de candidats à l'élection présidentielle pour faire valoir la voix des entreprises. Ségolène Royal avait quant à elle prévu de rencontrer tous les représentants d'organisations patronales et syndicales avant de s'exprimer.
AP
publié par Thomas dans: Ségolène