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28 février
La présidente du MEDEF Laurence Parisot a rencontré après-midi Ségolène Royal pour une "réunion de travail" sur les questions de "compétitivité des entreprises", du "dialogue social" et de la "représentativité des syndicats".

A la sortie du quartier général de campagne la candidate socialiste à l'élection présidentielle, la présidente du Mouvement des entreprises de France s'est déclarée "satisfaite" de cet entretien. "Nous avons des approches qui ne sont pas si éloignées l'une de l'autre", a-t-elle assuré, même si "sur les solutions et les remèdes, il peut y avoir des divergences".

"Tout le monde est d'accord pour dire qu'il y a un enjeu de la compétitivité" qui est "fondamental pour les entreprises", a poursuivi Laurence Parisot. "Pour résoudre ce challenge", Ségolène Royal est, selon elle, favorable à une "approche gagnant-gagnant, qui tienne à la fois compte des entreprises, des salariés et du pays".

Mme Parisot a précisé qu'elles avaient également discuté du "dialogue social" et de la "représentativité des syndicats", et qu'elles étaient d'accord sur le fait qu'il faudrait "des adhésions plus massives aux organisations syndicales, et que pour cela la bonne solution est de donner un véritable rôle aux partenaires sociaux, organisations syndicales et patronales".

La présidente du MEDEF a également déclaré que Ségolène Royal n'était pas forcément favorable à "plus de lois et de règlements", pour que la France trouve "la clé du succès".

Laurence Parisot s'était fixé comme objectif de rencontrer une majorité de candidats à l'élection présidentielle pour faire valoir la voix des entreprises. Ségolène Royal avait quant à elle prévu de rencontrer tous les représentants d'organisations patronales et syndicales avant de s'exprimer.

AP
par Thomas publié dans : Ségolène
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27 février
Ségolène Royal a signé matin à Clichy-sous-Bois le "contrat social et citoyen" proposé aux candidats à la présidentielle par le collectif AC le feu, créée dans la foulée des violences urbaines de .
Ce pacte, rédigé sur la base des doléances récoltées en dans 120 villes de France par le collectif AC le feu, né à Clichy-sous-Bois après les violences urbaines de novembre , comporte 105 propositions "concrètes" sur neuf thèmes comme l'emploi, les discriminations, le logement, l'insécurité. Mme Royal a laissé de côté une vingtaine de propositions qui lui semblaient "irréalisables" ou dont la rédaction posait problème.

Accueillie chaleureusement aux cris de "Ségolène présidente" par les habitants du quartier, la candidate socialiste a déclaré: "Vous faites partie intégrante de la nation". Elle a également assuré que son "grand chantier présidentiel sera la réussite des quartiers populaires".

"Vous n'êtes pas un problème mais une partie de la solution à nos problèmes", a-t-elle ajouté sous les applaudissements. "J'ai envie que vous réussissiez. J'ai besoin de vous dans cette nouvelle France qui se lève. J'ai confiance en vos talents, vos générosités. Vous pouvez faire beaucoup pour la France", a-t-elle affirmé. "Il faut de l'espoir mais il n'y aura pas d'"assistanat" et de "tutelle", a ajouté Mme Royal. "Il faut vous demander ce que vous vous pouvez faire. Je m'appuie sur votre énergie, c'est ça mon exercice du pouvoir", a-t-elle dit.

Mme Royal, qui, à plusieurs reprises dans ses discours, a cité le travail d'AC le feu, est la première candidate à l'Elysée à signer le "contrat" du collectif, qui avait été adressé à l'ensemble des candidats.

AFP
par Thomas publié dans : Ségolène
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27 février

Section des sourds et malentendants socialistes

Pour info, il s'agit d'un résumé de cette intervention

par Thomas publié dans : Ségolène
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26 février
Ségolène Royal était l'invitée ce matin sur France Inter.

Ecouter l'interview
par Thomas publié dans : Ségolène
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26 février

1) Quelle place considérez-vous que doit occuper la politique de concurrence pour que l'économie française soit pleinement compétitive ? Quelle place considérez-vous que la politique de concurrence doit occuper dans la réalisation des politiques que vous proposez de mettre en place si vous êtes élu Président(e) de la République ?

Ségolène Royal : La politique de la concurrence est bien sûr essentielle à la compétitivité de l’économie française en empêchant quelques entreprises qui ne jouent pas le jeu de créer des rentes à leur profit. Elle est aussi, ne l’oublions pas, au service de nos concitoyens. Je pense par exemple à la décision récemment rendue par le Conseil de la concurrence sur les opérateurs de téléphonie mobile ou à la décision de la Commission européenne qui a obligé ces mêmes opérateurs à réduire le coût des appels passés à l’étranger. Bien sûr, ce n’est pas suffisant pour réconcilier les Français avec l’Europe mais c’est avec ce type de décisions, concrètes et au service de tous, que l’Union européenne apporte une preuve de sa valeur ajoutée. Je défends donc une politique de la concurrence qui bénéficie avant tout au consommateur.

 

Je rappellerai d’ailleurs que c’est en s’appuyant sur ce raisonnement que le gouvernement Jospin avait fait voter en mai 2001 la loi sur les nouvelles régulations économiques afin de  renforcer l'efficacité de la lutte contre les pratiques anticoncurrentielles, d’améliorer la coopération internationale dans ce domaine et de contrôler les concentrations de manière plus systématique et plus transparente. A ce sujet, je regrette que le gouvernement actuel ait cru bon de relever très nettement le seuil de contrôle des concentrations, ce qui entraîne un contrôle plus faible que dans une majorité de pays européens.

 

La politique que j’entends conduire est fondée sur la revalorisation du pouvoir d’achat des Français, par une augmentation des bas salaires et des petites retraites et par une opération vérité sur les prix. La politique de la concurrence occupera toute sa place dans le cadre de ce dispositif. Je crois cependant qu’il ne faut pas ériger les règles de concurrence en dogmes intouchables et que celles-ci ne s’appliquent pas de la même manière aux services publics.


2) La Commission européenne poursuit depuis maintenant plus de quinze ans une politique de libéralisation sectorielle (énergie, postes, transports…). Comment jugez-vous cette politique ? La qualité du service public vous semble-t-elle en avoir été diminuée ? Les résultats économiques vous paraissent-ils à la hauteur des objectifs annoncés ? Seriez-vous favorable à la poursuite de cette politique dans certains secteurs, à une pause dans d’autres ?

Le sens de la construction européenne depuis vingt ans a été celui d’une libéralisation de pans toujours plus larges de nos économies. Les dogmes appliqués de manière souvent brutale ont donné une mauvaise image de l’Europe.

 

Quant aux résultats, ils ne sont pas vraiment au rendez-vous. Il serait d’ailleurs intéressant que la Commission fasse un bilan sur l’évolution des prix et de la qualité du service dans les secteurs libéralisés. En France, le prix de l’électricité a augmenté au moment de la mise en concurrence pour les entreprises.  

 

Nous continuerons donc de nous battre pour l’adoption d’une directive cadre européenne sur les services d’intérêt général qui permettra de faire reconnaître un droit spécifique des services publics. Dans le même esprit, nous demanderons un nouveau débat européen avant toute mise en concurrence de l’électricité pour les particuliers.


 3) Etes-vous favorable à la constitution de "champions nationaux" ? Si oui, la politique communautaire de concurrence vous semble-t-elle constituer un obstacle à la constitution de champions nationaux ?

Je crois en effet que la politique de la concurrence doit évoluer sur ce point. A l’heure des OPA planétaires et de la très forte concurrence des Etats-Unis et des pays asiatiques, elle ne favorise pas la constitution de champions européens qui, plus que les champions nationaux, peuvent s’imposer sur les marchés mondiaux. Au contraire, il est arrivé qu’elle les pénalise par une approche tatillonne et finalement contre productive : les Français sont restés marqués par les exemples de Pechiney, de Schneider-Legrand, de Mittal et Arcelor. Il semble cependant que la Commission, dont plusieurs décisions d’interdiction ont été récemment annulées par le juge européen, soit aujourd’hui plus ouverte à la question du maintien de la compétitivité internationale de nos entreprises.

 

Ce n’est donc pas tant la règle européenne que son interprétation par la Commission qui doit évoluer : la règle est très générale et permet plusieurs interprétations. En revanche, les services de la Commission ont souvent eu une approche trop dogmatique, imperméable aux impératifs de politique industrielle. La Commission doit savoir être pragmatique. Quant à nos entreprises, elles doivent être plus agressives à l’étranger,  pour ne pas devenir elles-mêmes des proies. Ce sont des champions européens dont nous avons besoin aujourd’hui.


4) La Commission européenne devrait-elle assouplir sa politique en matière d’aides d’Etat dans un contexte d’économie mondialisée où les principaux partenaires économiques de l’Europe n’applique pas une politique comparable ? 

Là encore, je pense que la Commission devrait être moins rigide dans l’application des normes et prendre mieux en compte la nécessité de défendre les intérêts de l’Union européenne contre ses principaux concurrents. Il ne faut pas se tirer une balle dans le pied en s’appliquant à nous-mêmes des règles trop strictes tandis que d’autres puissances commerciales ne se privent pas pour aider leurs entreprises. Dans ce domaine également, le contrôle de la Commission européenne peut être extrêmement tatillon, voire incompréhensible. C’est le cas par exemple du découpage géographique des aides régionales. Il est nécessaire d’avoir moins de bureaucratie et plus de souplesse dans l’utilisation des aides aux entreprises et des fonds européens au niveau local.

Les instruments européens doivent également être mobilisés pour aider nos entreprises à accompagner les reconversions. Le fonds européen d'ajustement à la mondialisation est opérationnel depuis quelques semaines et doit permettre de financer la reconversion des salariés touchés par des restructurations liées à la mondialisation. C’est un pas positif mais il faudra augmenter fortement la dotation de ce fonds, qui ne dispose pour l’instant que de 500 millions d'euros par an pour les 27 Etats membres.


5) Quel rôle voyez-vous pour la politique de concurrence en matière de lutte contre les délocalisations et de renforcement des PME ?

La lutte contre les délocalisations passe à titre principal par une politique commerciale européenne plus offensive. Il n’y a pas de raison que les pays européens soient les seuls à ne pas défendre leurs intérêts dans la compétition internationale qui se déroule. Il faut donc mettre en œuvre des instruments capables de mieux protéger l’industrie européenne contre les délocalisations extra-européennes.


6) Le législateur français a entendu mettre fin à certaines dérives observées dans la grande distribution ; par ailleurs, la Commission européenne remet en cause la loi Royer en matière d’urbanisme commercial. Les réformes successives visant à équilibrer les différentes formes de commerce et les relations producteurs/distributeurs vous semblent-elles avoir atteint leurs objectifs ?  

Je crois qu’il faut tirer le bilan des effets d’annonces du ministre de l’économie de l’époque qui se sont révélées sans conséquences visibles pour les consommateurs. Les « marges arrières » des grandes surfaces n’ont pas disparu, elles ont simplement pris d’autres formes.

 

Tout reste donc à faire dans ce domaine comme dans celui de l’urbanisme commercial. Nos villages et nos villes ont besoin de commerces de proximité. Ce sont des lieux de vie qui contribuent à l’animation économique et sociale d’un territoire. Pour ces raisons, le commerce de proximité doit être soutenu partout et son implantation dans les banlieues doit être encouragée. Et je souhaite que le développement de l’urbanisation en périphérie des grandes villes se traduise par la création de zones consacrées au petit commerce.

 

Mais nos instruments de soutien au commerce de proximité devront être revus, pour gagner en efficacité et pour nous conformer au droit communautaire. La loi Royer, qui est vieille de plus de trente ans, est de toutes les façons à bout de souffle. Il faudra ouvrir une concertation entre les acteurs concernés pour trouver des solutions intégrant les objectifs de protection de l’environnement, de l’urbanisme et de l’aménagement du territoire.

7) Le Conseil de la concurrence et la Commission européenne ont prononcé en des sanctions financières importantes vis-à-vis de grandes entreprises. Afin de dissuader les comportements les plus néfastes pour les consommateurs, seriez-vous favorable à un renforcement de la politique pénale des pratiques anti-concurrentielles les plus graves ou récurrentes, tels les cartels ou les récidives ? Etes-vous favorable à la mise en place de mécanismes d’actions en dommages et intérêts des consommateurs, tels des actions de groupe ?

 Je ne suis personnellement pas favorable à une pénalisation à outrance des pratiques anticoncurrentielles, telle qu’elle existe par exemple aux Etats-Unis. Il y a déjà des dispositions pénales pour les pratiques les plus graves qui sont très peu utilisées. Il faut au contraire renforcer le niveau des sanctions pécuniaires et encourager les programmes de clémence qui ont été créés par la loi de 2001 et qui marchent bien aujourd’hui.

En revanche, il est urgent de se doter, en France, d’un système d’actions de groupe digne de ce nom, c'est-à-dire qui ne soit pas que la somme des recours individuels comme c’est le cas dans le projet actuel du gouvernement, mais qui au contraire bénéficie réellement au petit consommateur et protège efficacement ses droits. Je rappelle que le Parti Socialiste a déposé à l’Assemblée nationale fin décembre un contre-projet de loi sur les procédures judiciaires collectives, élargies entre autres à l’environnement, qui a été salué par toutes les associations de consommateurs.


8) En France, le régime des concentrations d’entreprises est placé sous le contrôle du Ministère de l’économie, le Conseil de la concurrence pouvant être appelée à formuler un simple avis. Le régime communautaire des concentrations est quant à lui sous le contrôle de la Commission européenne. Une évolution de ce régime communautaire vous semble-t-elle souhaitable ? Transfert du pouvoir de décision à une autorité ou juridiction ad hoc ; création d’un mécanisme d’intervention du Conseil européen des ministres ? ou toute autre mesure ? 

Comme je l’ai déjà indiqué, le régime européen me semble moins devoir modifier sa structure que sa vision économique. Cela dit, un système où le Conseil des ministres pourrait outrepasser un véto donné par la Commission à une fusion majeure pour l’économie européenne est une idée intéressante. Cela renvoie à ce que je disais sur la nécessaire émergence de champions européens, qui ne doit pas être contrariée par une approche trop tatillonne du droit de la concurrence par la Commission.


9) Le rapport Novelli, rédigé au nom de la Commission des finances, de l'économie générale et du Plan, a posé la question d’un éventuel rapprochement de la DGCCRF et du Conseil de la concurrence à la faveur de ce dernier. Verriez-vous des avantages à une évolution de la répartition actuelle des fonctions ?  

Là encore, la question institutionnelle n’est pas majeure. Il faut que les deux autorités de concurrence, le Conseil et la DGCCRF, apprennent à mieux travailler ensemble. En matière de contrôle des concentrations, je pense que notre système, qui laisse le dernier mot au ministre, doit être préservé. Il faut de toute façon que le gouvernement et le ministre de l’économie conservent le pouvoir d’aller contre une décision de l’autorité de concurrence en matière de concentration pour des motifs d’intérêt général, comme c’est le cas en Allemagne ou en Grande-Bretagne.


10)  Le rapport Gélard sur les autorités administratives indépendantes, réalisé par l'Office parlementaire d'évaluation de la législation, recommande notamment une rationalisation du système français des autorités administratives indépendantes. Dans ce cadre, les questions de regroupement de régulateurs intervenant dans des secteurs connexes ainsi que du mode de nominations ont été posées. Que pensez-vous de cette position ?

Parmi les autorités administratives indépendantes, il y a sans doute des aménagements à apporter. Mais le vrai problème reste le mode de désignation de leurs membres. Il faut plus de transparence dans ces modes de désignation, avec un vrai contrôle parlementaire et un débat démocratique.

par Thomas publié dans : Ségolène
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24 février

par Thomas publié dans : Ségolène
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22 février
I- Le cadrage économique du Pacte présidentiel

Une croissance moyenne de 2,5 % par an à partir de .

La dette publique réduite de 65 % à 60% en 2012.

Les prélèvements obligatoires stabilisés au niveau de (44 % du PIB).

Un pacte représentant 50 milliards bruts de dépenses nouvelles en 2012, financé notamment par 15 milliards d’économies et de redéploiements.

Une dépense publique maîtrisée, en évolution de 1,8% par an, inférieure à la croissance du PIB.

La situation fin

Dette publique : 64,6 %

Prélèvements obligatoires : 44 %

Les objectifs du Pacte présidentiel pour 2012

Dette publique : 60 %

Prélèvements obligatoires : 44 %

Le Pacte présidentiel en 2012

Les mesures du Pacte presidential : 50 Md€

Economies et redéploiements : 15 Md€

Coût net du Pacte presidential : 35 Md€

Le cadre financier du Pacte présidentiel

Croissance : 2,5 %

Inflation : 1,8 %

Evolution de la dépense publique en volume : 1,8 %

Evolution des recettes : 2,5 %

Une croissance de 2,5% par an, la dépense publique maîtrisée, les prélèvements obligatoires stabilisés : le Pacte présidentiel est financé.

II- Les priorités du Pacte présidentiel

Le Pacte présidentiel prépare l’avenir

Préparer l’avenir en investissant dans l’université, la recherche, le développement durable et en soutenant l’investissement : 42 %

Soutenir le pouvoir d’achat, l’emploi, les politiques sociales et la solidarité : 28%

Financer les services publics, la justice, la prévention, la citoyenneté, et la solidarité en faveur des pays en développement : 30%

50 milliards d’euros de dépenses brutes en 2012

35 milliards d’euros de dépenses nettes

Ventilation des priorités du Pacte

I) La présidente de la confiance retrouvée et du travail pour tous (augmentation du budget de la recherche et des crédits de l’innovation de 10% par an, droit à la formation, sécurité sociale professionnelle, 500 000 emplois tremplins, Revenu de Solidarité Active). 17,9 Md€

II) La présidente de la réussite éducative et culturelle (loi de programmation pour les universités, allocation d’autonomie pour les jeunes, service public de la petite enfance, soutien de la création artistique et de l’emploi culturel). 12,1 Md€

III) La présidente du pouvoir d’achat garanti (augmentation du SMIC et des salaires, revalorisation des petites retraites, doublement de l’Allocation de Rentrée Scolaire, allocation logement et 120 000 logements sociaux). 4,7 Md€

IV) La présidente garante d’une sécurité sociale renforcée (financement pérenne de l’hôpital public, dispensaires en zones rurales, maintien à domicile et structures d’accueil des personnes âgées). 4,5 Md€

V) La présidente de la lutte contre toutes les formes de violence (renforcement des moyens de la justice et prévention de la délinquance). ). 4,5 Md€

VI) La présidente de l’excellence environnementale (soutien aux transports collectifs et aux énergies renouvelables). ). 4,3 Md€

VII) La présidente d’une République nouvelle (service civique). 1 Md€

VIII) La présidente d’une France active et forte en Europe (Aide Publique au Développement) 1 Md€

Economies et redéploiements : 15 Md€

Coût net du pacte : 35 Md€

15 milliards d’euros d’économies et de redéploiements

 La maîtrise et l’efficacité de la dépense publique sont possibles.

Un euro dépensé doit être un euro utile.

Nous l’avons déjà fait entre 1997 et 2002, à la différence de l’actuel Gouvernement qui a fait exploser la dépense publique : elle avait baissé de 2 points de PIB sous la précédente législature et a augmenté de 2 points sous l’actuel Gouvernement !

L’objectif est de réaliser des économies et des redéploiements sur l’ensemble de la dépense publique, à hauteur de 1,26% de la dépense, soit 15 milliards d’euros.

La pleine application de la loi organique relative aux lois de finances va permettre des gains d’efficacité.

Pour la sécurité sociale, les principes de la loi organique relative aux lois de finances devront s’appliquer.

Pour les collectivités locales, la décentralisation et une clarification des compétences seront des gages d’efficacité.

Par ailleurs, des économies sur les effets d’aubaine et les subventions inutiles seront réalisées à hauteur de 5 milliards d’euros.

Des gains d’efficacité seront également réalisées sur la formation professionnelle, à hauteur de 2 milliards d’euros.

III- La stratégie fiscale

- La stabilisation des prélèvements obligatoires est nécessaire pour réduire le poids de la dette publique.

- Elle garantit la capacité de financer les dépenses publiques.

- Elle ne signifie en aucun cas l’immobilisme fiscal.

1) Rétablir la solidarité et l’égalité devant le prélèvement fiscal et social

Rendre notre fiscalité directe plus juste et plus transparente.

Assurer l’égalité fiscale entre les territoires.

2) Donner à la fiscalité tout son rôle dans la promotion du développement durable

Favoriser les comportements responsables : baisses ciblées de TVA sur les éco-industries et les éco-produits.

Responsabiliser les pollueurs : éco-taxe.

3) Rétablir une fiscalité favorable à l’activité et au renforcement de notre système productif

Redonner à l’imposition des entreprises un rôle incitatif en matière d’emploi et d’investissement : moduler l’impôt sur les sociétés.

Favoriser les PME et TPE qui créent de l’emploi : baisser l’impôt sur les sociétés.

Lutter contre la concurrence fiscale déloyale.

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par Thomas publié dans : Ségolène
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21 février

par Thomas publié dans : Ségolène
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20 février
Au 1er tour, Ségolène Royal arrive en tête, avec 29% (+2), tandis que le candidat de l'UMP perd 5 points à 28%.
François Bayrou est en troisième position à 17% (+4). Jean-Marie Le Pen reste a 14%.

Aucun autre candidat n'atteint les 5%. Olivier Besancenot est à 2,5% (-0,5), José Bové à 2% (=), comme Marie-George Buffet (=) et Philippe de Villiers (=).
Viennent ensuite deux candidats à 1%: Arlette Laguiller (=), Dominique Voynet (=).
Frédéric Nihous est à 0,5 (-0,5). Nicolas Dupont-Aignan et Corinne Lepage sont également à 0,5%. Gérard Schivardi n'atteint pas cette limite.
27% des sondés (=) affirment avoir l'intention de s'abstenir ou de voter blanc ou nul au premier tour.

Au second tour, Ségolène Royal, selon un sondage CSA pour Le Parisien Aujourd'hui en France et i-Télé rendu public , gagne 4 points par rapport au dernier sondage. Le candidat UMP perd donc 4 points.
Nous en sommes donc à 51% - 49%, soit seulement deux points d'écart contre 10 il y a deux jours...
30% des personnes interrogées (+1) ont l'intention de s'abstenir ou de voter blanc ou nul au deuxième tour.

Sondage réalisé par téléphone le 20 février auprès d'un échantillon national représentatif de 884 personnes âgées de 18 ans et plus inscrites sur les listes électorales (méthode des quotas). Notice détaillée disponible auprès de la Commission des sondages.
par Thomas publié dans : Ségolène
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19 février
Ségolène Royal était l'invitée de PPDA sur TF1.

Voir la première partie de l'émission

Voir la seconde partie de l'émission





Plus de 8,9 millions de téléspectateurs ont regardé soir la prestation de la candidate socialiste lors de l'émission "J'ai une question à vous poser" sur TF1, annonce la première chaîne dans un communiqué.

Selon les chiffres Médiamétrie, environ 37% des téléspectateurs de plus de quatre ans, soit 8.913.540 personnes, ont regardé Ségolène Royal, ce qui place TF1 en tête des audiences de la soirée. Un pic a été enregistré avec 10.595.340 téléspectateurs à 21h33.


Record d'audience pour une émission politique depuis 15 ans à la TV !

par Thomas publié dans : Ségolène
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