Marc Concas |
Conseiller général socialiste des Alpes-Maritimes et avocat du barreau de Nice.
"Elle est le meilleur candidat socialiste à l’élection présidentielle de . Sa jeunesse, ses compétences, sa combativité et son ouverture d’esprit sont ses atouts majeurs."
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Julien Dray |
Porte-parole du Parti Socialiste, et co-fondateur de SOS Racisme.
"Je soutiens la candidature de Ségolène. Aujourd'hui, elle est une de celles qui est le mieux à même de battre la droite".
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Patrick Allemand |
Premier vice-président PS de la région PACA et conseiller général du 12ème canton de Nice.
"C’est une candidate qui est une chance pour le Parti Socialiste. Elle incarne mieux que quiconque le besoin du renouvellement de la classe politique que les français nous demandent."
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Dominique Boy Mottard |
Conseillère générale PS du 7ème canton de Nice.
"A partir du moment où elle est socialiste, je ne peux en penser que du bien !"
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André Labarrère |
Sénateur-maire PS de Pau (décédé).
"Madame Royal n’est pas un phénomène de mode mais un ras-le-bol devant les politiques professionnels. Langue de bois, ambitions dévorantes non dissimulées lassent les Français qui ont besoin d’une bonne goulée d’air frais. Cette fraîcheur viendra de Ségolène. Femme, énarque, trois fois ministre, Présidente de Région, elle a tous les atouts pour gagner. Que Lionel Jospin n’insiste pas et il rendra service au Parti Socialiste et à la France"
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Malek Boutih |
Secrétaire national du PS aux questions de société et ex-président de SOS Racisme.
"Si je soutiens Ségolène Royal au PS, c'est entre autres parce qu'elle veut s'appuyer sur des citoyens mobilisés et les écouter pour changer la société (...) C'est maintenant à la gauche de créer un désir d'engagement par des propositions innovantes et concrètes"
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Gérard Collomb |
Maire PS de Lyon.
"J'aime sa manière de sortir des sentiers battus. A cause des jeux internes du PS, Dominique Strauss-Kahn s'est plus bridé que libéré. Une femme présidente correspond à l'évolution de la société."
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François Rebsamen |
Maire PS de Dijon et numéro 2 du Parti Socialiste
"La gauche a retrouvé espoir à travers Ségolène Royal. Si elle va au bout de son chemin, je serai à ses côtés. J'apprécie Ségolène Royal, la femme politique, femme publique, les idées qu'elle défend, je l'estime...l'heure n'est pas celle du choix, mais elle n'est pas non plus à critiquer celle qui peut redonner, à un moment, espoir à la gauche".
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Gilles Savary |
Député PS européen
"J'ai de l'intérêt pour ce qu'elle incarne. Je n'entends pas participer à l'offensive contre Ségolène par laquelle le Parti socialiste est capable de se tirer une balle dans le pied."
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Gaëtan Gorce, Jean-Louis Bianco et Christophe Caresche. |
Députés PS et animateurs du groupe Nouvelle Voix au Parti Socialiste
"La constitution d'un front anti-Ségolène Royal ne pourrait qu'affaiblir collectivement le PS, nous invitons les éléphants à rejoindre rapidement leur réserve et tous les candidates et candidats à mettre leur énergie et leur imagination, non au service de leur candidature, mais de notre projet collectif "
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Yvette Roudy |
Ancienne ministre PS du droit des femmes. Figure du féminisme de gauche et signataire du manifeste des "343 salopes".
"Les 143 femmes du PS qui dénonce la pipolisation de Ségolène Royal, ont une démarche qui consiste à saboter ce qui pourrait être une première dans notre histoire, la candidature légitime d'une femme de gauche féministe à l'élection présidentielle".
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Jacques Auxiette |
Président PS de la région Pays de la Loire. |
Jean-Paul Denanot |
Président PS de la région Limousin. |
Jean-Yves Le Drian |
Président PS de la région Bretagne. |
Jean-Pierre Masseret |
Président PS de la région Lorraine. Proche d'Henri Emmanuelli. |
François Patriat |
Président PS de la région Bourgogne. |
Jean-Jacques Queyranne |
Président PS de la région Rhône-Alpes. |
Michel Sapin |
Président PS de la région Centre. |
Roger Madec |
Sénateur PS du XIXe arrondissement de Paris. |
Jean-Noël Guérini |
Sénateur PS. |
Michel Vauzelle |
Président PS de la région Provence-Alpes-Côte d'Azur. Courant du Nouveau Parti Socialiste.
"Elle aura tout mon soutien. Voir une femme à la tête de l'Etat, c'est une très bonne chose".
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Jean Guérard |
Patron de la fédération PS du Lot-et-Garonne et vice-président de la région Aquitaine. Proche de Henri Emmanuelli.
"Elle apparaît la seule à être en situation de nous éviter Sarkozy. Moi je fais partie de ces responsables politiques qui ont envie par-dessus tout d'éviter de revivre 2002. Quelque chose est en train de se passer. Elle donne une image positive de la vie politique, elle tranche sur ce que l'on entend d'habitude".
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Guy Férez |
Maire PS d'Auxerre.
"C’est la seule personnalité neuve, avec Arnaud Montebourg, qui soit sortie du rang, au parti socialiste, depuis une dizaine d’années. Elle a le sens de l’écoute et le souci du dialogue. Elle incarne quelque chose pour les gens parce qu’elle parle comme eux. Les principes et les valeurs qu’elle défend revitalisent le discours politique. Elle est en train de créer de l’attachement politique au-delà des militants et sympathisants socialistes. Elle est à même de porter le projet socialiste en ".
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François Marc |
Sénateur PS breton.
"Aujourd'hui, Ségolène Royal constitue une chance pour le parti. Elle a une capacité d'écoute, les Français y sont sensibles, et la volonté d'apporter des changements dans la société. C'est une approche politique rénovée qui a un peu manqué ces derniers temps".
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Christian Bataille |
Député PS du Nord.
"C'est elle qui est la plus à même de rassembler une majorité. L'électorat populaire m'a clairement indiqué son choix. Elle donne un coup de pied dans la fourmilière des chapelles."
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Christophe Girard |
Adjoint PS (ex-vert) à la culture à la mairie de Paris. MIlitant LGBT.
"Faire campagne pour la première femme candidate à la présidence de la République me plairait beaucoup. Elle a la carapace" et bouscule les clivages.Elle est aussi légitime que n'importe quel homme et n'importe quel énarque. Elle travaille et a une certaine vision de la société".
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Philippe Vuilque |
Député PS des Ardennes et vice-président du conseil général de Champagne-Ardennes. |
Louis Mermaz |
Sénateur PS de l'Isère. |
Jean-Paul Bret |
Maire PS de Villeurbanne (69). |
Jean-Yves Secheresse |
Président du groupe socialiste au conseil municipal de Lyon.
"Les réactions machistes ou méprisantes des hiérarques du PS à son éventuelle candidature m'ont horripilé. En janvier, avec quelques copains nous sommes allés sur son site et on a vu qu'il existait un comité de soutien à Evreux. On s'est dit, il faut bouger"
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Frédérique Grégoire |
Conseillère municipale PS de Nice, avocate.
"Je suis la première élue socialiste du département à avoir rejoint le comité de soutien à Ségolène Royal. Même si nous n’avons pas en France une tradition d’exercice du pouvoir par les femmes, je suis persuadée que la candidature de la Ségolène ROYAL est une chance pour la France."
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Bernard Kouchner |
Ex-ministre PS de la santé.
Je trouve que la danse du scalp des machos autour de Ségolène Royal est déplorable". Je ne vois pas pourquoi, à diplôme égal, à intelligence égale, à charmes inégaux, on n'accorderait pas à une femme autant de chances qu'à un homme. Ségolène est plus charmante et plus décidée que ses rivaux socialistes. Son parcours est exemplaire. Au niveau des idées, que nous soyons ensemble ne serait pas mauvais".
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Pierre Mauroy |
Ex-premier ministre socialiste.
"Ségolène pourrait être une bonne candidate, dont j'ai pu constater la ténacité et les capacités de travail quand j'étais à la tête du PS. La parité se concrétise. L'idée qu'une femme soit candidate (à l'Elysée) n'effraie maintenant plus personne (...), cela fait avancer les choses".
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Jean-Marc Ayrault |
Président du groupe PS à l'Assemblée Nationale.
Ségolène révèle une attente très profonde de renouveau. Elle incarne certainement ce renouveau et parle des valeurs".
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Roland Dumas |
Ancien président du conseil constitutionnel.
"Elle a un parcours très intéressant. Elle est populaire, sympathique. Les sondages, c'est vrai, lui sont favorables. Dans l'urne, c'est autre chose. Son rôle n'est pas facile : compagne du premier secrétaire, elle ne doit ni lui faire de l'ombre ni être dans son ombre. Il faut qu'elle montre dans les prochains mois qu'elle est en mesure d'affronter les grands problèmes internationaux. Passer du rang de ministre à celui de chef d'Etat, c'est une ascension qui n'est pas évidente. C'est la différence entre un homme politique et un homme – ou une femme – d'Etat."
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