1 2 3 4 5 6 7 8
13 Septembre
Razzye Hammadi, président des MJS s'explique sur "l'affaire" Nolwen
13 Septembre

Ségolène Royal a rencontré à Bruxelles les présidents de la Commission, José Manuel Barroso, et du Parlement européen, Josep Borrell.

PAS DE "LIBÉRALISME SAUVAGE"

"Je crois que c'est une erreur de mettre la réforme des institutions comme préalable à la définition des actions européennes et à la définition d'un avenir pour l'Europe". Il convient, a-t-elle ajouté, de repenser auparavant "l'idéal européen", alors que le président de l'UMP estime qu'il faut des institutions réformées - plus de vote à la majorité, un président stable pour l'UE et un ministre des Affaires étrangères - pour pouvoir gérer l'Europe élargie. Avant de parler institutions, il faut "lancer des programmes européens, notamment sur la préparation de l'après-pétrole, sur les innovations et les investissements dans la recherche", a expliqué Ségolène Royal en parlant de "créer l'Europe par la preuve". Il s'agit notamment d'"affirmer un contre-modèle social opposé au libéralisme sauvage qui fait qu'aujourd'hui les citoyens d'Europe se sentent menacés par rapport à la mondialisation", a-t-elle souligné. "Et après seulement nous pourrons leur expliquer qu'il faut une réforme des institutions", a-t-elle poursuivi. "Les peuples d'Europe comprendront qu'en unissant nos efforts nous pouvons être plus forts" lorsqu'elle fonctionnera mieux.

Sarkozy dit-il clairement que la Turquie n'a pas sa place dans l'Union européenne et qu'il faut nouer un partenariat privilégié avec ce grand pays musulman pour l'ancrer dans l'UE? "Tout déclaration brutale comme celle que l'on a entendue rejetant la Turquie aurait des effets désastreux et en même temps, je crois qu'il faut regarder avec réalité la préoccupation qui consiste à dire: (...) il faut que les frontières de l'Europe soient stables mais que des partenariats soient noués", a expliqué Ségolène Royal au Parlement européen.

RÉPONDRE AUX PRÉOCCUPATIONS DES FRANÇAIS

"Je crois que dans le débat qui a eu lieu récemment en France la question de la stabilité des frontières en Europe est une question qui fait partie des questions, des préoccupations que les Français se sont posées", a-t-elle estimé.

Concernant les opérations de régularisation réalisées en Italie et en Espagne, "Je pense que c'est regrettable", a-t-elle aussi répondu sur ces régularisations réalisées sans aucune concertation avec les autres pays européens, tout en prônant une politique européenne de l'immigration. Il faut, a-t-elle dit, "maîtriser l'immigration si l'on veut que nos opinions publiques comprennent que le pouvoir politique a un sens et a une efficacité" et aider les pays d'origine.

Ces commentaires succincts ne valent pas un discours-programme que son entourage promet pour bientôt.

AFP

13 Septembre

     L'hebdomadaire américain Time consacre sa couverture à Ségolène Royal. 

     Extraits

"Beaucoup n'hésitent pas à lui rappeler que sa bataille n'est pas encore à mener. Les membres du PS ne choisiront en effet leur candidat officiel qu'en novembre. Mais les sondages d'opinion montrent que Royal est de loin la plus populaire des candidats possibles à gauche, et la seule qui pourrait battre Nicolas Sarkozy (…). Délibérément, Royal évite un affrontement direct avec ses rivaux au sein du parti socialiste, une preuve, selon ses compagnons de campagne, de sa détermination à créer une nouvelle dynamique politique dans une France mise à mal par le changement, une politique de connexion directe avec les électeurs. (…) Il y a une chose qui met très clairement Royal à part. Elle est une femme." Time apprécie et ne se gêne pas pour critiquer ses rivaux "mâles et gris" au sein du PS, notamment Laurent Fabius et Lionel Jospin, "le désastreux candidat socialiste à la présidentielle de 2002".

Nouvel Obs

13 Septembre

Une chanson a été faite par un jeune groupe de femmes appelé "Classe Affaires" en l'honneur de Ségolène Royal.

 


http://classe-affaires.oldiblog.com

12 Septembre

      En visite en Italie, Ségolène Royal s'est entretenue avec le président du Conseil italien Romano Prodi, avec qui elle a notamment parlé économie, énergie et affaires européennes. 


      Selon la candidate socialiste, cette visite devrait l'aider à définir son programme en matière de politique étrangère avant son éventuelle investiture par le PS. Elle doit également se rendre à Bruxelles et à Madrid .
Evoquant la nécessité de comprendre "tous les points de vue", elle a également expliqué que sa visite en Italie lui permettrait d'expliquer aux Français comment elle voit "l'avenir de l'Europe" et "le rôle de la France" sur la scène internationale. 


      Selon Ségolène Royal, ses entretiens avec M. Prodi se sont concentrés sur l'économie, l'énergie et les affaires européennes. L'immigration et la sécurité de l'emploi étaient également à l'ordre du jour. 
      Les discussions ont également porté sur le projet de fusion entre Gaz de France (GDF) et la société Suez, qui ont décidé de s'allier en prévision d'une possible offre publique d'achat (OPA) de l'italien Enel sur Suez. 
 Ségolène Royal s'est déclarée favorable à des liens plus étroits entre entreprises françaises et italiennes pour créer des géants européens.

AP

1 2 3 4 5 6 7 8
Contact - C.G.U. - Reporter un abus